Pour ce mois de novembre, c’est un retour à Djibouti ! Retrouver les joies du bivouac, directement sur les lieux de pêche. Avec même la possibilité pour les courageux d’essayer de mettre au sec une ignobilis du bord. Le corail ne facilite pas la tâche mais nombreux sont ceux qui, par le passé, ont réussi de superbes coups de ligne ! Plus raisonnablement, la pêche se passe en bateau par équipe de 3. Les postes sont nombreux et sur certains secteurs la diversité est intéressante. Au mois de novembre la chaleur est acceptable, mais qu’importe, c’est pour la pêche-aventure que nous venons ! Tous mes voyages précédents ayant été très bien fournis en poissons avec quelques ignobilis de très belles tailles. Si le matériel joue un rôle important, c’est le côté combatif du pêcheur qui est primordial. Avec des séquences parfois faciles et d’autres où la ténacité va forcément apporter une solution !

Au mois de janvier 2024 c’est également un retour sur l’Afrique de l’Est mais en Tanzanie cette fois. Sur l’île de Mafia. Le plaisir de retrouver un excellent skipper et des sessions de pêche qui démarre tôt et qui finissent tard ! Le but est vraiment de bagarrer une très grosse ignobilis. Dans un décor magnifique et sur une mer où la concurrence est bien rare. Nous avons pris de superbes carangues de 30 à plus de 40 kg ! C’est un pays qui a souffert par le passé des bateaux de pêche commerciaux bien destructeurs. Le temps passe et les poissons reviennent grâce à des surveillances plus strictes. A noter l’excellente ambiance qui règne sur cette île isolée du monde.

Et pour les mois de février et mars, c’est une habitude, direction Acunda aux Bijagos ! Un coin totalement à part où la pêche sportive est parfaitement développée. Le camp, les bateaux, les marins et skippers, c’est de la qualité ! L’année dernière, sur un mois de pêche, nous avons pris des centaines de gros poissons dont un nombre impressionnant de cobias. Avec de tels résultats, impossible de ne pas revenir !

Pour les mois suivants il y aura à nouveau du Djibouti, évidemment du Gabon, un probable Madagascar. Mais j’aurai l’occasion d’en reparler !

A bientôt, Julien